Il y a presque 30 ans, Bill Hybels publiant un classique sur la prière intitulé: «Trop occupé pour ne pas prier». Martin Luther affirmait: « J’ai tellement à faire que je ne peux pas me permettre de ne pas passer mes trois premières heures dans la prière ».
Qu’avaient-ils que nous n’avons pas? Ou est-ce que la question devrait être: qu’avons-nous qu’ils n’avaient pas?
Hybels écrivit son livre à une époque sans courriel ni Twitter. Luther ne vérifiait pas son fil Facebook en se levant le matin.
Mais est-ce cela qui explique une différence entre eux et nous? La technologie joue-t-elle un rôle ou non dans notre quête vers l’au-delà? Si oui, ce rôle est-il positif ou négatif?
Ce mois-ci, nous voulons avoir une conversation franche sur la vie spirituelle à l’ère du numérique et explorer ensemble des moyens pour enrichir notre recherche commune et notre désir commun, conscients ou non, de connecter avec Dieu.
Il y a presque 30 ans, Bill Hybels publiant un classique sur la prière intitulé: «Trop occupé pour ne pas prier». Martin Luther affirmait: « J’ai tellement à faire que je ne peux pas me permettre de ne pas passer mes trois premières heures dans la prière ».
Qu’avaient-ils que nous n’avons pas? Ou est-ce que la question devrait être: qu’avons-nous qu’ils n’avaient pas?
Hybels écrivit son livre à une époque sans courriel ni Twitter. Luther ne vérifiait pas son fil Facebook en se levant le matin.
Mais est-ce cela qui explique une différence entre eux et nous? La technologie joue-t-elle un rôle ou non dans notre quête vers l’au-delà? Si oui, ce rôle est-il positif ou négatif?
Ce mois-ci, nous voulons avoir une conversation franche sur la vie spirituelle à l’ère du numérique et explorer ensemble des moyens pour enrichir notre recherche commune et notre désir commun, conscients ou non, de connecter avec Dieu.
Est-ce que la féminité et la masculinité sont de pures inventions de la culture? D’où nous viennent nos «définitions» de ce qu’est un homme ou une femme? Sommes-nous appelés à nous donner de nouvelles définitions? Ces questions bouleversent actuellement l’Occident. Ainsi, tous, incluant l’Église, sont appelés à réfléchir avec la culture.
Aucune garantie de trouver toutes les réponses au Pub Socratique, mais nous pourrons certainement identifier les grandes questions et faire un bout de réflexion ensemble.
Est-ce que la féminité et la masculinité sont de pures inventions de la culture? D’où nous viennent nos «définitions» de ce qu’est un homme ou une femme? Sommes-nous appelés à nous donner de nouvelles définitions? Ces questions bouleversent actuellement l’Occident. Ainsi, tous, incluant l’Église, sont appelés à réfléchir avec la culture.
Aucune garantie de trouver toutes les réponses au Pub Socratique, mais nous pourrons certainement identifier les grandes questions et faire un bout de réflexion ensemble.
Il existe des marqueurs classiques de l’âge adulte, mais la société semble être en transition vers la recherche de nouveaux repères. L’émergence de l’adulescence est l’exemple d’un concept élaboré en ce sens.
Il faut se poser la question à savoir si le concept est adéquat. Est-il utile? Découle-t-il d’un contexte économique? Représente-t-il un changement à long-terme ou plutôt générationnel?
Quels regards portons-nous sur la maturité? Quelle approche l’Église devrait-elle avoir en lien avec cette idée?
Alors que dans les générations précédentes, atteindre une autre etno-culture se faisait essentiellement par le biais de la mission à l’étranger, la mondialisation et la facilitation des transports intercontinentaux ont permis que cette rencontre ait lieu dans notre ville, notre quartier, notre église locale.
Cette réalité croissante a alors favorisé le passage à une église caractérisée par la diversité ethnoculturelle. Cette réalité, qui est finalement l’accomplissement de la promesse faite à Abraham, est alors autant une source d’inconsidérables richesses qu’une source de questions ecclésiologiques et pastorales importantes auxquelles les églises et leurs leaders font face.
En effet, face à cette diversité, certains appuient que l’église ne peut encourager une telle diversité à cause des incompatibilités que cela pourrait apparemment engendrer. D’autres souligneront que vouloir entretenir une unité au sein d’une telle diversité est utopique. D’autres encore souligneront qu’entretenir une telle diversité dans une société pluriethnique est désirable, voire même nécessaire.
Notre désir pour cette soirée sera de discuter ensemble sur la façon dont l’histoire de la rédemption et l’évangile, qui en est sa conclusion, informe notre compréhension et notre pratique, au sein de l’église locale, au sein de cette réalité plurielle ethno-culturelle. Nous sommes heureux de vous inviter à nous rejoindre pour cette conversation et ce dialogue qui se fera dans un esprit irénique.
Enjeux éthiques reliés au monde materiel (litho/hydro/atmosphère), enjeux éthiques reliés au monde vivant (biosphère) et enjeux éthiques reliés (in)directement à l’être humain : voici un avant-goût des thèmes qui seront abordés!
Ils rejoignent une variété de centres d’intérêts, mais chacun concerne tout individu dans son interaction avec la planète.
Enjeux éthiques reliés au monde materiel (litho/hydro/atmosphère), enjeux éthiques reliés au monde vivant (biosphère) et enjeux éthiques reliés (in)directement à l’être humain : voici un avant-goût des thèmes qui seront abordés!
Ils rejoignent une variété de centres d’intérêts, mais chacun concerne tout individu dans son interaction avec la planète.
On estime que de 1970 à 1986, près de 32 000 Québécois se sont convertis au christianisme évangélique. Cette période d’effervescence spirituelle a littéralement changé la face de l’église et l’a amenée dans une période de renouveau. Nouveaux croyants issus du catholicisme. Nouveaux modèles d’église et d’évangélisation. Nouvelle génération de pasteurs et ouvriers. Cette période a marqué l’église à un point tel que le réveil a encore de profonds effets dans l’église évangélique.
La nouvelle génération de chrétiens évangéliques n’a toutefois pas vécu le réveil, seulement ses effets. Nous désirons amorcer une rétrospective introspective à travers une série de questions qui amèneront les enfants du réveil en dialogue avec ceux qui l’ont vécu. Quel est l’héritage du réveil? Quels sont ses effets (positifs et négatifs) qui se font toujours sentir aujourd’hui?
On estime que de 1970 à 1986, près de 32 000 Québécois se sont convertis au christianisme évangélique. Cette période d’effervescence spirituelle a littéralement changé la face de l’église et l’a amenée dans une période de renouveau. Nouveaux croyants issus du catholicisme. Nouveaux modèles d’église et d’évangélisation. Nouvelle génération de pasteurs et ouvriers. Cette période a marqué l’église à un point tel que le réveil a encore de profonds effets dans l’église évangélique.
La nouvelle génération de chrétiens évangéliques n’a toutefois pas vécu le réveil, seulement ses effets. Nous désirons amorcer une rétrospective introspective à travers une série de questions qui amèneront les enfants du réveil en dialogue avec ceux qui l’ont vécu. Quel est l’héritage du réveil? Quels sont ses effets (positifs et négatifs) qui se font toujours sentir aujourd’hui?
La notion de la sécularisation du Québec peut certainement éveiller un vent d’espoir et un sentiment de libération. Elle soulève ainsi un éventail de questionnements face au nouveau portrait qui se dresse de l’avenir de nos citoyens, de nos familles, de nos institutions et de leur interaction avec la spiritualité et la religion.
Monsieur Charles Taylor, professeur émérite de science politique et de philosophie, viendra nous entretenir sur sa réflexion concernant ce détachement de la religion au Québec et sur les incidences qu’il observe, ainsi que les perspectives qu’il entrevoit.
Suite à sa présentation, l’auditoire a été invité à poser ses questions afin d’approfondir le sujet et partager ensemble sur les idées qui se sont brassés entre les participants.
La notion de la sécularisation du Québec peut certainement éveiller un vent d’espoir et un sentiment de libération. Elle soulève ainsi un éventail de questionnements face au nouveau portrait qui se dresse de l’avenir de nos citoyens, de nos familles, de nos institutions et de leur interaction avec la spiritualité et la religion.
Monsieur Charles Taylor, professeur émérite de science politique et de philosophie, viendra nous entretenir sur sa réflexion concernant ce détachement de la religion au Québec et sur les incidences qu’il observe, ainsi que les perspectives qu’il entrevoit.
Suite à sa présentation, l’auditoire a été invité à poser ses questions afin d’approfondir le sujet et partager ensemble sur les idées qui se sont brassés entre les participants.
