Il y a presque 30 ans, Bill Hybels publiant un classique sur la prière intitulé: «Trop occupé pour ne pas prier». Martin Luther affirmait: « J’ai tellement à faire que je ne peux pas me permettre de ne pas passer mes trois premières heures dans la prière ».
Qu’avaient-ils que nous n’avons pas? Ou est-ce que la question devrait être: qu’avons-nous qu’ils n’avaient pas?
Hybels écrivit son livre à une époque sans courriel ni Twitter. Luther ne vérifiait pas son fil Facebook en se levant le matin.
Mais est-ce cela qui explique une différence entre eux et nous? La technologie joue-t-elle un rôle ou non dans notre quête vers l’au-delà? Si oui, ce rôle est-il positif ou négatif?
Ce mois-ci, nous voulons avoir une conversation franche sur la vie spirituelle à l’ère du numérique et explorer ensemble des moyens pour enrichir notre recherche commune et notre désir commun, conscients ou non, de connecter avec Dieu.